"Comme les êtres humains, les animaux sont capables de ressentir du plaisir ou de l’aversion.
C’est ce que confirment les scientifiques avec les dernières études sur la « sentience » animale. Une révélation qui pose plus que jamais la question du rapport de l’homme à l’animal.
C’est ce que confirment les scientifiques avec les dernières études sur la « sentience » animale. Une révélation qui pose plus que jamais la question du rapport de l’homme à l’animal.
« Il n’y a pas de différence fondamentale entre l’homme et les mammifères supérieurs sur le plan des facultés mentales (…) la différence intellectuelle entre l’Homme et les animaux supérieurs, si grande soit-elle, n’est qu’une question de degré et non de genre. » déclarait déjà, en son temps, Charles Darwin. Il aura fallu attendre le XXIème siècle pour que les scientifiques donnent raison au grand homme et le prouvent avec les dernières études sur la « sentience ».
La sentience, révélatrice de la sensibilité animale
Si la définition précise de la « sentience » et la question de savoir si elle est présente chez tout animal font toujours débat, il est aujourd’hui reconnu par tous que les animaux sont des êtres sensibles, à un degré plus ou moins élevé. Autrement dit, un animal éprouve un ensemble de sentiments (sensations, perceptions et émotions) positifs ou négatifs, depuis la douleur et la peur jusqu’au plaisir et la joie. Des études scientifiques ont d’ailleurs montré que certains animaux présentaient un type de capacités mentales de haut niveau que l’on croyait, jusqu’alors, réservées aux seuls humains comme être conscients d’eux-mêmes, être capables de résoudre des problèmes nouveaux, avoir des représentations mentales ou encore comprendre ce que d’autres animaux savent ou se disposent à faire. Et ce que l’animal soit sauvage, animal de ferme ou animal familier." [...]
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